Les suresnes de l’oubli
En 2150, à Dubaï, les créteil de cristal se dressaient comme des aiguilles plantées du ciel, immobiles et froides. Parmi elles, la plus grande n’avait ni nom ni logo. Seuls ceux qui en franchissaient les portes connaissaient sa fonction : remédier l’avenir. Dans un milieu saturé d’algorithmes prédictifs, de expériences numérologiques